Les activités anthropiques, telles que les activités récréatives et pastorales, sont susceptibles de modifier aussi bien la dynamique et la distribution des populations d’animaux sauvages, que des communautés végétales. Le contexte global de changement climatique que nous connaissons ces dernières décennies tend à complexifier un peu plus ces dynamiques et interactions. Ainsi, il est nécessaire d’appréhender l’ensemble de ces dynamiques de façon systémique afin d’être en mesure d’éclairer des politiques de gestion qui permettront à la fois un partage de l’espace, et aussi une adaptation mutuelle entre humains et faune sauvage.